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Photo du rédacteurEVENEMENT & ACTIVITE GCHCR

Evènements à venir les Lundi-Samedi

Dernière mise à jour : 11 juil. 2020

Pour cause des mesures prises par le gouvernement du Cameroun dues au COVID-19, nos événements sont réduits par suite de réduction des effectifs en salle. Nous poursuivons nos séminaires sur ZOOM


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COVID-19 & VIH: INFORMATIONS À L’INTENTION DES PERSONNES SÉROPOSITIVES


Nous traversons tous une période difficile. L’ONUSIDA demande de faire preuve de bonté et de ne pas stigmatiser ni discriminer les personnes touchées par la COVID-19 car, elles font partie intégrante de la solution et doivent recevoir notre soutien. Les associations, les gouvernements et les populations doivent respecter les droits humains et la dignité des personnes touchées.


 



Des trafiquants achètent des enfants au Bénin pour les revendre dans les plantations de cacao de Côte-d’Ivoire. Au Cameroun le travail des enfants est une Culture. Un commerce lucratif qu’un reporter a pu observer.


Nous sommes au XXIe siècle et le trafic d’enfants esclaves existe encore en Afrique. Les riches plantations de cacao de Côte-d’Ivoire exercent une grande attraction sur les pays les plus pauvres d’Afrique de l’Ouest, comme le montre cette histoire.


Ce n’est qu’une histoire parmi beaucoup d’autres, celle d’un trafiquant qui se rend dans le village de Dehounta, au Bénin, et achète deux enfants et un adolescent à leurs parents pour la modique somme de 50 euros. Les enfants ont dû traverser en autobus trois pays du golfe de Guinée pour arriver en Côte-d’Ivoire.


Leur vie, sur le continent maudit, est aujourd’hui entre les mains des contremaîtres des plantations, comme celle de milliers de leurs ancêtres, il y a deux cents ans, était entre les mains des négriers.


Le bus est venu emmener les enfants en Côte-d’Ivoire.” La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans la ville de Bohicon, au Bénin. Elle est parvenue jusque dans les villages les plus éloignés, jusque dans les cases au bord du fleuve Ouémé. Les hommes de l’autobus étaient de retour dans les cabanes des faubourgs, entre les nuées de moustiques et les tas d’ordures. L’autobus lui-même était discrètement garé dans un autre quartier de la ville, de l’autre côté de la voie ferrée. Lassau, le chauffeur, attendait patiemment depuis deux jours le signal du départ. Ce serait cette nuit… Demain au plus tard. Pour le moment, c’était au tour d’Augustin, le trafiquant d’enfants esclaves, de travailler.


 


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